Bientôt un nouveau test du cancer de la prostate
1er mars 2000 – L’utilisation de l’antigène prostatique spécifique (APS) comme marqueur du cancer de la prostate n’est pas un test très précis : 15 % des hommes ayant un cancer de la prostate auront un taux d’APS normal et sur 100 hommes ayant un taux d’APS anormal, seulement 35 % auront le cancer. Bref, la seule manière de savoir précisément si un homme a un cancer de la prostate est de procéder à une biopsie (analyse de tissus).
Les choses pourraient cependant changer bientôt puisqu’un nouveau test nommé uPM3 (Urinary Prostate Marquer) permet de détecter la présence de cellules prostatiques cancéreuses dans l’urine. Le test peut facilement être réalisé dans un laboratoire d’hôpital. Selon le Dr Yves Fradet, de la compagnie DiagnoCure, le test uPM3 permettrait de réduire le nombre de biopsies nécessaires pour établir un diagnostic.
Une première étude clinique a démontré que le test détecte les cellules cancéreuses chez 80 % des patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate et qui continuent de présenter un taux d’APS normal; d’autre part, il permet de diagnostiquer 67 % des cas de cancer de la prostate chez les gens présentant une hypertrophie bénigne de la prostate. Le test uPM3 doit faire l’objet d’une étude clinique plus exhaustive avant d’être commercialisé.
Le cancer de la prostate affecte éventuellement 1 homme sur 10. En Amérique du Nord, 200 000 nouveaux cas sont détectés chaque année et un quart d’entre eux entraîneront le décès.
PasseportSanté.net
D’après L’Actualité médicale, 16 février 2000
Site de la compagnie Diagnocure : http://www.diagnocure.com/
1er mars 2000 – L’utilisation de l’antigène prostatique spécifique (APS) comme marqueur du cancer de la prostate n’est pas un test très précis : 15 % des hommes ayant un cancer de la prostate auront un taux d’APS normal et sur 100 hommes ayant un taux d’APS anormal, seulement 35 % auront le cancer. Bref, la seule manière de savoir précisément si un homme a un cancer de la prostate est de procéder à une biopsie (analyse de tissus).
Les choses pourraient cependant changer bientôt puisqu’un nouveau test nommé uPM3 (Urinary Prostate Marquer) permet de détecter la présence de cellules prostatiques cancéreuses dans l’urine. Le test peut facilement être réalisé dans un laboratoire d’hôpital. Selon le Dr Yves Fradet, de la compagnie DiagnoCure, le test uPM3 permettrait de réduire le nombre de biopsies nécessaires pour établir un diagnostic.
Une première étude clinique a démontré que le test détecte les cellules cancéreuses chez 80 % des patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate et qui continuent de présenter un taux d’APS normal; d’autre part, il permet de diagnostiquer 67 % des cas de cancer de la prostate chez les gens présentant une hypertrophie bénigne de la prostate. Le test uPM3 doit faire l’objet d’une étude clinique plus exhaustive avant d’être commercialisé.
Le cancer de la prostate affecte éventuellement 1 homme sur 10. En Amérique du Nord, 200 000 nouveaux cas sont détectés chaque année et un quart d’entre eux entraîneront le décès.
PasseportSanté.net
D’après L’Actualité médicale, 16 février 2000
Site de la compagnie Diagnocure : http://www.diagnocure.com/