Vaccin Pfizer-BioNTech : une personne sur 100 000 a fait un choc allergique

 

Les autorités sanitaires américaines ont annoncé ce mercredi 6 janvier 2021 qu’une très mince partie de la population avait souffert d’une réaction allergique grave après avoir reçu le vaccin développé par Pfizer-BioNTech. D’après les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), une personne sur environ 100 000 a manifesté une réaction allergique grave après avoir été vaccinée.

Ce mercredi 6 janvier 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé qu’une personne sur environ 100 000 a manifesté une réaction allergique grave après avoir reçu une dose du vaccin de Pfizer-BioNTech contre le coronavirus. C’est ce que rapporte l’étude des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) qui a recensé 21 cas de chocs anaphylactiques et une réaction allergique grave, sur un total de 1 893 360 injections du vaccin de Pfizer-BioNTech effectuées entre le 14 et le 23 décembre. 

Selon Nancy Messonnier, une responsable des CDC : « en moyenne, cela représente un taux de 11,1 chocs anaphylactiques par million de doses administrées ». À titre de comparaison, les vaccins contre la grippe provoquent environ 1,3 choc anaphylactique par million de doses. Même si le nombre de cas de réactions allergiques sévères reste « excessivement rare », Nancy Messonnier a déclaré : « nous savons soigner un choc anaphylactique et nous avons mis en place des procédures sur les sites de vaccination ».

Sur les 21 cas recensés de chocs anaphylactiques, 90% des cas étaient des femmes (soit 19 patientes). Au total, 19 des patients ont été soignés avec de l’épinéphrine, couramment utilisée pour traiter des allergies violentes.  Quatre patients ont été hospitalisés, dont trois en soins intensifs, et les 17 autres ont été pris en charge dans un service d’urgences. Les symptômes, survenus entre deux et 150 minutes après l’injection du vaccin (soit une moyenne de 13 minutes) ont concernés des éruptions cutanées, de l’urticaire, une sensation d’étouffement, un gonflement de la langue, des difficultés respiratoires, des lèvres gonflées, la nausée et une toux sèche persistante. 

Si aucun décès n’a été déploré, des enquêtes sont en cours pour déterminer la cause des réactions allergiques. Selon les spécialistes, l’une des hypothèses pourrait être liée à la présence polyéthylène glycol (PEG), une substance utilisée dans de nombreux produits (comme les laxatifs, les shampoings ou la pâte dentifrice) mais qui n’avait jamais été utilisée auparavant dans des vaccins.

Vaccin Pfizer-BioNTech : une personne sur 100 000 a fait un choc allergique

 

Les autorités sanitaires américaines ont annoncé ce mercredi 6 janvier 2021 qu’une très mince partie de la population avait souffert d’une réaction allergique grave après avoir reçu le vaccin développé par Pfizer-BioNTech. D’après les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), une personne sur environ 100 000 a manifesté une réaction allergique grave après avoir été vaccinée.

Une personne sur environ 100 000 a manifesté une réaction allergique grave

Ce mercredi 6 janvier 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé qu’une personne sur environ 100 000 a manifesté une réaction allergique grave après avoir reçu une dose du vaccin de Pfizer-BioNTech contre le coronavirus. C’est ce que rapporte l’étude des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) qui a recensé 21 cas de chocs anaphylactiques et une réaction allergique grave, sur un total de 1 893 360 injections du vaccin de Pfizer-BioNTech effectuées entre le 14 et le 23 décembre. 

Selon Nancy Messonnier, une responsable des CDC : « en moyenne, cela représente un taux de 11,1 chocs anaphylactiques par million de doses administrées ». À titre de comparaison, les vaccins contre la grippe provoquent environ 1,3 choc anaphylactique par million de doses. Même si le nombre de cas de réactions allergiques sévères reste « excessivement rare », Nancy Messonnier a déclaré : « nous savons soigner un choc anaphylactique et nous avons mis en place des procédures sur les sites de vaccination ».

Différents symptômes soignés principalement avec de l’épinéphrine

Sur les 21 cas recensés de chocs anaphylactiques, 90% des cas étaient des femmes (soit 19 patientes). Au total, 19 des patients ont été soignés avec de l’épinéphrine, couramment utilisée pour traiter des allergies violentes.  Quatre patients ont été hospitalisés, dont trois en soins intensifs, et les 17 autres ont été pris en charge dans un service d’urgences. Les symptômes, survenus entre deux et 150 minutes après l’injection du vaccin (soit une moyenne de 13 minutes) ont concernés des éruptions cutanées, de l’urticaire, une sensation d’étouffement, un gonflement de la langue, des difficultés respiratoires, des lèvres gonflées, la nausée et une toux sèche persistante. 

Si aucun décès n’a été déploré, des enquêtes sont en cours pour déterminer la cause des réactions allergiques. Selon les spécialistes, l’une des hypothèses pourrait être liée à la présence polyéthylène glycol (PEG), une substance utilisée dans de nombreux produits (comme les laxatifs, les shampoings ou la pâte dentifrice) mais qui n’avait jamais été utilisée auparavant dans des vaccins.

Source: passeportsante.net
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